Je suis blanche, il est noir, la différence ne se voit que dans les yeux des bâtards ! Différence ethnique, alliance de cultures, voilà les raisons de notre progression, c'est sûr… J'ai l'esprit clairvoyant et les yeux bien ouverts car j'inspire, j'espère, dans l'instant, tous les sois disants "prophètes, les propagateurs, adulateurs d'une race parfaite", c'est clair et net, la démonstration est faite, dix pour cent pour intèle, que je ne citerai pas, aux élections, c'est une défaite. Je suis blanche, il est noir, c’est une leçon pour l’histoire, blanc et noir, l’histoire est à revoir !

Ok, je reprends pour faire monter la transe, j'augmente mon amertume et là je sents se vider ma plume, mon cerveau fume, j'ouvre les yeux, les faussaires sont partout, oui, ces individus qui crachent seulement sur le politicien raciste mais entretiennent le même style de haine, du genre complètement manipulé par des pseudos suppôts de prophètes, le décalage est certain mais maltraitant le bâtard qui se dit blanc, qui se dit beur, qui se dit noir, sans aucun sens du tact, se déjouant de toute attaque, des ennemis de la liberté, fils de pute qui réfutent et se butent dans les préjugés dépassés. Même combat pour la haine, je dis stop, s'en est trop, attention danger, ne laisse pas véhiculer dans ton esprit leurs idées, leurs paroles, leurs volontés, leurs notions d'attardés, fanatiques ou disciples, ta raison n'a pas de sens, je suis blanche, il est noir… Alors prenons ça comme une offense car en France, le problème n'a pas lieu d'exister, les Etats-Unis ne sont pas toujours bons à copier, multiraciale est notre société alors bougeons ensemble et créons l'unité car depuis longtemps, trop longtemps, oui depuis trop longtemps depuis que le monde est monde, la couleur est une frontière, une barrière, c'est clair, je déclare le guerre à la terre entière, d'un revers autoritaire je balaie, je combats puis l'un après l'autre, j'abats le Front National, les skins, l'apartheid, le ghetto…

Parallèlement, je voudrais démontrer que quelle que soit la couleur, quelle que soit la nature, aucune race n'est supérieure car il n'y a pas de couleur pour être cartonneur asphyxiant le préjujé car toute connerie a ses limites, l'indulgence, je m'en dispense, toutes ces conneries dérisoires comment peut-on y croire ? De quel droit peut-on penser que cette chose dans laquelle on se terres nous diffère car sans comprendre, sans apprendre, on s'enfonces et je n'ai même pas pitié de toi car, à l'heure où je te parle, tu ne prends même pas conscience de mes mots.